Comment se suicider — La meilleure méthode de suicide est d’embaucher un liquidateur professionnel ou d’acheter du poison pour la mort indolore de notre service.
Comment se suicider De toutes les tentatives de suicide, les suicides ne sont reconnus comme vraiment fiables qu’un saut sous un train précipité, car il n’y aurait aucune chance de survivre. Jeter sous une voiture, jeter par une fenêtre, tout cela a de très mauvaises conséquences, quand une personne survit encore, même si elle a sauté du 9e étage ou si un camion l’a écrasé, mais l’a épargné. Et depuis, sa vie est devenue encore pire, il est pris sous contrôle, mis sur un disque, il peut vivre sa vie en fauteuil roulant, prendre de la nourriture sous le tube, ou rester dans le coma. Et même s’il récupère, alors, probablement, sa vie est encore pire qu’après une condamnation et un emprisonnement, il y a un sceau qu’une personne est mentalement malsaine, pendant un certain temps, elle est maintenue dans une maison de fous sous chimiothérapie, et même si plus tard son état mental se stabilise , il est libéré en tant que patient stable, les amis peuvent se détourner de lui, le problème de trouver un emploi, de transmettre une licence, de porter des armes, la possibilité de courir quelque part, et tout ça.
ouvrir les veines et courir sur un mur de briques ne donne pas non plus la garantie de se pencher en arrière. Parce que les gens ne savent pas comment faire. Certains, s’imaginant être Harry Potter, ont vraiment exagéré, mais leur objectif n’était pas le suicide, mais entrer dans le pays des fées de la magie, le but n’est pas interdit par la loi.
Le suspendre n’apporte pas non plus de garanties adéquates pour celui: «qui a déjà tout décidé par lui-même».
Certaines personnes ont recours à une surdose si elles sont toxicomanes ou sont déjà en dépression, comme les personnes bipolaires par exemple. Habituellement, les gens n’ont pas accès aux poisons et aux sédatifs puissants, mais ceux qui sont enregistrés peuvent avoir accès à des services tels que l’assistance médicale gratuite. Les psychiatres prescrivent un médicament tel qu’un antidépresseur, un tranquillisant, pendant un mois au patient sous surveillance. mais si le patient est complètement moche, certains essaient de boire tout le traitement mensuel à la fois, et ce n’est pas un fait que cela conduira à un résultat mortel, en fonction du médicament et du calcul des doses par poids de personne. Les pharmaciens réduisent également la létalité des médicaments en cas de surdosage même au stade de sa fabrication et de ses tests. Les psychotropes ne sont généralement pas toxiques ou mortels, même les antidépresseurs et les sédatifs puissants, les somnifères. Et pourtant, on trouve des «gens intelligents» qui violent le contrôle du médecin sur le rendez-vous. Si un patient s’est suicidé, et que son médecin de district ne contrôlait pas, alors, si je comprends bien (à l’adresse où il était attaché), il est responsable jusqu’à la révocation de son permis et même des accusations criminelles. Parfois, ces «dissidents des polycliniques» se retrouvent presque tous les mois sur la table des médecins, où ils sont pompés. Parfois, ce sont des filles, dont le cœur a été brisé par une sorte de «salaud affectueux», un artiste pick-up avec un beau corps, mais un salaud dans l’âme. S’ils peuvent vraiment se faire du mal, ils sont placés dans un hôpital, où tout est strictement contrôlé, même s’il n’y a pas d’objets pointus dans la salle à manger. Et pourtant, certains réussissent par overdose. Il y a aussi des adolescents qui veulent «s’évader gentiment» comme Elvis ou Kurt Cobain. Elvis n’était pas déprimé, au contraire, il était ivre, mais il ne calculait pas un peu la cocaïne, et quand ils ont ouvert sa chambre d’hôtel, ils ont vu que le roi était couché dans la salle de bain, et la couronne lui est tombée de la tête. Les extraterrestres ont promis de le rendre, mais ne l’ont pas encore rendu. Une personne en surdose se sent tellement merdique … qu’en général, il vaut mieux ne pas vraiment le savoir, et la saleté, les surdoses merdiques peuvent affecter toute la vie, pas toujours, en aucun cas toujours avec un taux de mortalité élevé.
Les médicaments de la catégorie de ceux qui immergent une personne sous anesthésie peuvent être vraiment mortels à forte dose, mais ces médicaments ne sont pas disponibles même pour les médecins hautement qualifiés, uniquement pour les chirurgiens. eh bien, il y a aussi des poisons … mais ils ne sont presque jamais disponibles. il y a vraiment des poisons ménagers … mais je préfère ne pas écrire à leur sujet. Bari Alibasov a bien ruiné sa vie.
Concernant les hôpitaux et les PND de district, en effet, tout y fonctionne à travers une souche d’arbre, les fonds sont mal alloués à la psychiatrie. même certains bâtiments sont minables et en mauvais état, les infirmières sont imprudentes, les patients ouvrent les portes avec des cuillères volées, volent des tranquillisants, les accros vont dans les pharmacies et achètent toutes sortes de mélanges pour booster, voyager, et la liste des choses interdites dans le pays est un peu étrange, comme si elle a écrit un homme qui ne savait presque rien de la chimie. Les personnes souffrant de dépression sévère sont assez fréquentes, bien sûr, elles ne sont pas toutes surveillées en permanence même par leurs proches, elles ne les gardent pas trop longtemps à l’hôpital, elles se présentent au plus une fois par mois. Les schizos et les bipolaires sont donc la plupart du temps livrés à eux-mêmes, à l’exception de ceux qui ont besoin de soins constants et de repos au lit.
la situation des suicides était pertinente non seulement pour notre époque, où il y a toutes sortes de sous-cultures dépressives nourries par un style de vie confortable. Pendant l’âge d’argent, chez les jeunes filles, l’habitude de se noyer est devenue une mode et un problème d’état important. Le soi-disant «Lizin Pond» est devenu notoire. Basé sur l’histoire associée à cet étang, le travail Poor Liza et ainsi